Et puis je
t'ai croisé petite voleuse de vingt-six
ans...
Jamais une femme ne m’avait débusqué
là où frondeuse tu es venue...
Toi petite et moi la quarantaine...
Tu as bousculé ma vie par des mots
bleus ciselés d’émotion...
Comme une eau cristalline sur la roche...
Sensations d’humidité et de fraîcheur...
De bien être et de peur...
J’aurai voulu te regarder vivre encore un
peu dans « ta vie »...
Sans n’être rien de plus qu’un élément
infime du décor...
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